Très belle soirée au Novomax pour conclure l'année 2016 puisque l'asso Quimpéroise Polarité[s] a eu la bonne idée de programmer le talentueux Piers Faccini. Artiste multiculturel par excellence, Piers Faccini vient présenter sur scène son dernier opus I Dreamed An Island, véritable invitation au voyage. Il est précédé sur scène du groupe local "qui monte" : Koto.
KOTO
Tous les voyants sont au vert pour le jeune groupe Quimpérois. Une réputation locale grandissante, des programmations de concerts en hausse et un premier Ep dans les tuyaux (financement participatif quasi bouclé). Sur scène, Koto c'est de l'Américana folk. Pas celui du côté obscur où Timber Timbre règne en empereur, non ! Plutôt celui de Knopfler, des Lumineers, un folk de ballades douces et entêtantes comme Let's No Talk ou Waterbound. Le public est conquis et l'accueil est très chaleureux. Il reste à vérifier si Koto est capable de perdurer dans un style musical qui peine à trouver écho en France (quelques groupes comme les Da Brasilians en étaient pourtant de remarquables ambassadeurs). C'est tout le mal qu'on leur souhaite.
Tous les voyants sont au vert pour le jeune groupe Quimpérois. Une réputation locale grandissante, des programmations de concerts en hausse et un premier Ep dans les tuyaux (financement participatif quasi bouclé). Sur scène, Koto c'est de l'Américana folk. Pas celui du côté obscur où Timber Timbre règne en empereur, non ! Plutôt celui de Knopfler, des Lumineers, un folk de ballades douces et entêtantes comme Let's No Talk ou Waterbound. Le public est conquis et l'accueil est très chaleureux. Il reste à vérifier si Koto est capable de perdurer dans un style musical qui peine à trouver écho en France (quelques groupes comme les Da Brasilians en étaient pourtant de remarquables ambassadeurs). C'est tout le mal qu'on leur souhaite.
PIERS FACCINI
J'ai rêvé une île. C'est le titre du dernier album de Piers Faccini. Cette île c'est la Sicile. Une île Méditerranéenne où se mêlent les origines et les cultures comme un pont reliant l'Europe, l'Afrique et le Maghreb. Il est entouré sur scène de deux excellents musiciens : l'Agérien Malik Ziad (Basse du Maghreb et mandole) et l'Italien Simone Prattico (batterie).
J'ai rêvé une île. C'est le titre du dernier album de Piers Faccini. Cette île c'est la Sicile. Une île Méditerranéenne où se mêlent les origines et les cultures comme un pont reliant l'Europe, l'Afrique et le Maghreb. Il est entouré sur scène de deux excellents musiciens : l'Agérien Malik Ziad (Basse du Maghreb et mandole) et l'Italien Simone Prattico (batterie).
Sous une lumière tamisée, ambiance tente de bédouin, Piers Faccini nous transporte par delà les frontières pendant près de deux heures. En Syrie avec Drone, à travers les marchés siciliens, vendre des oranges avec Judith son aïeule, aux Etats-Unis briser les murs et les présidents milliardaires sur Bring Down The Wall, que la salle entière reprend en cœur. A l'image de l’entraînante tarentelle napolitaine Villaneva qui se confond au refrain kabyle Ya Baba, Piers Faccini capte chaque parfum qui ponctue ses voyages pour en restituer une fragrance nouvelle. Mention spéciale aux superbes A Home Away et Cloak Of the Blue. Splendide concert.
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